Mémoire collectif de Clémentine Bosse, Gaëlle Vandeputte, Inès Ryckeboer.
Il semble exister un véritable paradoxe entre la recherche de maximisation de l’impact positif qui conduit au changement d’échelle des entreprises sociales et la création de facto d’externalités négatives sociales ou environnementales… Et ce mémoire tente de comprendre ce paradoxe et de le dépasser pour envisager des pistes de solutions !
Nous avons d’abord présenté les raisons pour lesquelles le changement d’échelle semblait souvent indispensable au développement d’une entreprise sociale : il existe une véritable urgence écologique et sociale qui montre que notre système économique est à bout de souffle et qu’il devient donc nécessaire de le remettre en question… Et comme l’entrepreneuriat social est une piste prometteuse pour ce faire, il doit prendre sa place (et une place conséquente) dans la société ! Un développement qui aura par ailleurs lieu dans un environnement donné qui doit être pris en compte, entre financeurs, accompagnateurs et évaluateurs d’impact notamment…
Ce constat posé, il nous a été possible d’aborder le cœur du paradoxe : le changement d’échelle, bien que nécessaire, peut parfois poser des problématiques dangereuses qui ne sont pas souvent prises en considération et nous nous efforçons de développer.
Nous avons enfin voulu enfin aller voir plus loin que ce concept de changement d’échelle qui est sur toutes les lèvres… Essayer de comprendre comment l’entreprise sociale pourrait véritablement posséder les clés pour changer le monde ! Sans dresser une liste exhaustive, nous avons essayé de présenter toutes les pistes de solution rencontrées au cours de nos investigations.
En espérant que nous avons réussi à transmettre à l’écrit toutes nos questionnements et révélations, bonne lecture…